Qui a peur de lui ?
Cet article est destiné à tous ceux qui ont peur de Google et de son hégémonie incontestable. Il est aussi destiné à tous ceux, qui comme moi, n’ont pas peur du roi des moteurs de recherche.
Quelle impertinence que de ne pas avoir peur de Google !
Je vais développer mon idée en vous parlant de ce blog.
Ce blog est un blog d’amateur dont l’auteur (moi), se sent libre et surtout, veut se sentir libre et débarrassé des contraintes de toutes sortes imposées par le roi Google et tous ses dérivés comme Youtube et autres.. ou tout du moins, se servir de Google si le besoin s’en fait sentir mais pas l’inverse.
En ce moment, et puisque je me suis toujours senti libre, je poursuis une période de tests en tous genre. J’avais, il y a très peu de temps, un encart publicitaire Google Adsense, placé en haut et à droite de ce site web.
Pourquoi ? Etant débutant en la matière, je m’étais dit « et pourquoi pas !« . Faire de la publicité peut permettre de gagner un petit peu de monnaie, histoire de payer son hébergeur.
On s’équipe de l’inévitable frère de Google, Google Analytics pour se rendre compte du trafic provenant de toute une sorte de composantes plus ou moins complexes nous permettant d’analyser le comportement des visiteurs de notre site web.
Jusque là, vous suivez ?
Toujours dans l’optique de mes tests, et ne vous cachant pas qu’après un an d’utilisation de l’encart publicitaire, le gain était ridicule, « quelques misérables euros« , j’ai voulu pousser plus loin mon expérience.
Bien que Google cherchait à me pousser à utiliser un autre de ses frères, Google Adwords afin dit-il de mieux propulser mon site web, (mon oeil), Adwords sert juste à donner de l’argent au colosse et à vous en faire perdre. (J’en avais fait l’expérience dans le passé avec un autre blog).
J’ai donc, voulu m’y prendre différemment.
Bien que décrié par les professionnels du SEO (une amie, elle ne m’en voudra pas, c’est plutôt un hommage), j’ai voulu propulser un peu plus rapidement et artificiellement, mon blog.
Il suffit de chercher des alternatives à Google, et on en découvre toute une flopée.
Les barres de surfs on attirées mon attention. J’ai, d’ailleurs, produis un article à ce sujet, si vous avez le temps de le lire! Dans le même temps, mon attention à été attirée par le plugin d’automatisation d’articles avec lequel, je poursuis mes tests.
Bref, j’allais à l’encontre des préconisations des conditions générales de Google qui nous disent, pour résumer : « vous pouvez utiliser nos services mais attention, vous n’avez pas le droit de faire ceci ou cela… » Toutes sortes d’interdiction, évidemment, qui vont à l’encontre de mon idée de ce pourquoi j’édite ce site web. Parfois maladroitement, j’en conviens, mais mon blog, c’est mon blog.
Etant un fidèle lecteur d’autres blogs et de forums intéressant tel que celui de WebRankinfo, j’étais parfaitement au courant de ce que j’encourais de ne pas respecter les conditions d’utilisations du Roi.
Je me servais des barres de surf allègrement et constatait le trafic « artificiel » généré.
Chaque jours, je me demandais : » mais que fait Google ? Comment se fait-il qu’il n’ait pas repérer le manège ? »
Il a fini par le repérer enfin et m’a envoyé un mail me disant qu’il mettait fin à notre partenariat. Enfin !
Ce que je lisais régulièrement dans les forums spécialisés, était vrai, j’ai enfin été repéré, j’ai enfin été visible et bien vivant.
Je vous avoue, que ça m’a plu, j’étais aux anges. J’avais la possibilité de répondre à ce mail. Ma réponse à été cinglante. Je leur ai fait comprendre qu’ils devait être débordés pour m’avoir banni si tardivement, voir incompétent !
Je me suis senti soulagé, calme et libre. J’en ai profité pour faire le ménage dans mes comptes en relation avec Google. Après tout, Google ne supprimait que son partenariat publicitaire avec moi, c’est à dire qu’il gardait volait,pour lui mes misérables 39,21€, il ne supprimait pas le reste. Et bien, moi, je l’ai supprimé à sa place.
Plus d’Analytics et consort. J’ai choisi un autre moteur de recherche, je n’ai vraiment plus besoin de lui.
Il n’y a pas de conclusion à cet article, je poursuis mon petit bonhomme de chemin et je continuerai de taper sur tout ce que je juge en désaccord avec mes idées. Je comprend bien qu’il faut oser et que ce n’est pas évident pour tous les sites web, le mien est juste une passion gratuite (j’ai mon métier qui me permet de gagner ma vie), pour d’autres administrateurs de sites web, ils ne peuvent pas, hélas, se passer de Google car leurs sites doivent les faire vivre.
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.