Pourquoi le peuple se plaint toujours de ses dirigeants
Dans mon titre, je préfère préciser que l’analyse que je vais développer provient du côté peuple et pas du côté riche. Comme ça, vu du bord où l’on se place, vous pourrez continuer votre lecture ou passer votre chemin. Et oui, j’imagine mal un riche lire la publication d’un pauvre alors que l’inverse est plausible. Tout comme on imagine mal un grand professeur lire les idées d’un élève banal, je pourrais continuer comme ça en opposant l’ouvrier au patron, le pauvre au bourgeois etc..
Ces catégories différentes entre elles ne permettent jamais la compréhension. On pourrait dire qu’un pauvre est non miscible dans un riche. Le mélange est impossible comme l’huile et l’eau.
Je vais faire en sorte d’éviter les clichés, vous savez, ceux qui consisteraient à faire croire que le pauvre jalouse le riche, ou bien de penser que tous les riches sont à mettre dans le même sac.
Si le pauvre jalouse le riche, ça veut dire qu’il voudrait être à sa place et du coup, ça ne solutionne rien.
Tous les hommes ne sont pas à être mis dans le même sac, mais on peut réussir à trouver des points communs dans chaque classe d’une société.
Tout d’abord, les riches vivent ensembles, pensent ensembles. Ils ont les mêmes préoccupations.
C’est un peu pareil pour les pauvres, mais eux, n’ont pas vraiment le choix.
D’où viennent les riches ?
Si on veut comprendre, il faut déjà dresser un état des lieux.
Tout d’abord, on doit constater que les riches sont très peu nombreux par rapport à l’immensité du reste de l’humanité. Ils sont fort peu nombreux, certes, mais ils détiennent beaucoup plus d’argent à eux seuls que la totalité des pauvres. Et, puisqu’ils détiennent tout cet argent, ils détiennent le pouvoir absolu.
Être riche, en soi, ça ne veut pas dire grand chose. L’important ait ce que l’on fait de sa richesse. Ors, à part quelque riches au grand cœur, la majorité des riches a dérivé vers un pouvoir malsain voir, nauséabond.
Il y a différentes manières d’être riche
Je ne vais pas toutes les énumérer.
Certains on compris avant d’autres comment devenir riche. Pour ces cas là on peut parler d’opportunisme et aussi d’audace, de courage, de volonté. On peut très bien imaginer que ces personnes là pouvaient avoir été pauvre avant. Ce sont les moins blâmables, mais j’y reviendrai.
Il y a les grands héritiers. Certains ont sans doute poursuivi » dans le bon sens » les actions menés par leur ancêtre. On peut parler de continuité et de fructification de la fortune familiale.
Il y a ceux qui ont gagné de grosses sommes d’argent aux jeux. On peut aussi y trouver des pauvres.
Et puis, il y a les magouilleurs, les truands de la finance ou autre, les bandits, les narco-trafiquants etc..
J’ai envie de rajouter à cette liste ; les hommes politiques qui sont dans cette sphère depuis des décennies. Et oui, la plupart de ces gens là le sont parce qu’ils détiennent le pouvoir et qu’avec le pouvoir ils n’ont pas pu résister à l’appât du gain facile. (pots de vin, corruption)
Les hommes politiques, parlons-en
J’ai commencé cet article il y a plusieurs semaines, et j’en étais resté là. Oui, cet article était resté à l’état de brouillon.
Aujourd’hui, nous sommes dans l’affaire Fillon. Encore un qui prouve mes dires. Je sais qu’à l’heure où je rédige, il n’a pas encore été mis en examen. Quoi qu’il en soit, cette famille discrète a pu s’enrichir en toute discrétion avec l’argent du peuple.
De plus, on nous explique qu’il n’est pas le seul. On a donc la preuve, une fois de plus, du clientélisme à grande échelle.
Nos hommes politiques ne pensent qu’à s’enrichir et à leurs propres carrières. Il ne pensent pas à la grandeur de la France.
Malgré tout, nous continuons à voter pour eux. On peut appeler ça : Un paradoxe.
Nous savons, nous connaissons la situation, et nous continuons à voter pour nos hommes politiques connus, et le plus souvent, en place, depuis des décennies.
Nous avons certainement ce que nous méritons.
Il est grand temps de repenser en profondeur, un nouveau système de gouvernance. L’argent pourri tout et poursuit son petit bonhomme de chemin dévastateur.
Le peuple doit se fédérer et se mettre en marche
La balle est dans notre camp. Rien ne changera jamais, tant le peuple ne se soulèvera pas comme un seul homme, en mettant à la porte nos politiciens que nous avons assez vus. Nous n’avons pas besoin d’un groupuscule au sommet de l’état. Nous devons tous, participer, ensemble, au renouveau de la France en supprimant la représentativité. (nos députés, nos sénateurs, nos ministres)
Un pays se sent vivant et en pleine forme lorsque son peuple est heureux.
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