Faut-il vivre avec son temps ?

Faut-il vivre avec son temps ?


 

Ou, peut-on vivre avec son temps ?


 

Pour continuer dans ce sens, la question pourrait être :

Doit-on vivre avec son temps ?


 

 

On y est un petit peu obligé en même temps, nous n’avons guère le choix au risque de passer pour des extra terrestres. Et puis comment ferions-nous pour vivre comme a des temps passés que nous n’avons pas connus même si nous nous sommes documentés sur le sujet avec les livres d’histoires et les médias ! C’est bien joli d’avoir envie de vivre au siècle des lumières ou pendant la révolution française. Mais en serions-nous capable ?

Ce que sous-entend vivre avec son temps


 

 

Vivre avec son temps c’est vivre avec les lois en vigueur du moment, c’est vivre avec la moralité du moment, avec les habits du moment, avec la bien- pensance d’aujourd’hui. Et ce, pour ne pas passer pour un extra terrestre de la société.
Je ne suis pas en accord avec cette définition même si elle semble exacte, même si elle tombe sous le sens. Je m’intéresse plus à l’universalité du monde qu’à la mode du moment même si cette mode ne dure qu’une à deux générations et évolue sans cesse.
La moralité n’était pas la même au temps des philosophes Grecs que maintenant et la question n’est pas pourquoi ? Mais plutôt, quelle époque avait raison ?
La nôtre ou la leur !
Voilà une question épineuse et j’ai besoin d’exemples pour étayer mes propos.

– Comment était traité l’adultère il y a peu ? Et pourquoi cette question est devenue moins grave et banale maintenant !
– A l’inverse, pourquoi la société condamne si sévèrement les relations intimes entre majeurs et mineures alors qu’il y a des époques ou c’étaient toléré !
Je pourrais continuer presque indéfiniment sur les lois loufoques de la société pour peu que l’on vive dans un siècle différent du notre. Ce qui m’intéresse, moi, c’est de savoir quelle société à eu plus raison qu’une autre afin de m’approcher de la vérité.
Quelle pourrait-être une société idéale ?


 

 

On vient dernièrement de se rendre compte à quel point les extrémistes religieux font peur. Dans nos pays Occidentaux, il est facile de les désigner comme mauvais au vu de leurs exactions, massacres en tout genre, viols, tortures etc… Pour s’en défendre, eux nous disent, qu’il fût un temps, les chrétiens ont fait pires. Ce n’est pas faut. Du coup, aucune discussion n’est possible, chacun semble avoir raison. Ce n’est qu’une question de temporalité.
Mes réflexions m’amènent à penser que maintenant, aujourd’hui il semblerait que ce soit le temps des extrémistes musulmans et qu’il n’y a rien à faire.
C’est aussi cela que je nomme Vivre avec son temps.
Les hommes politiques Occidentaux cherchent des solutions, adoptent des lois plus dures contre le terrorisme, se protègent comme ils le peuvent et pourtant ne réussissent pas à enrayer ce fléau.
En France, c’est le parti socialiste qui est au pouvoir mais ce serait l’UMP, ce serait du pareil au même.
Les rares personnes qui me suivent, savent que je ne porte pas dans mon cœur les partis politiques et les élites en générale. Je pourrais écrire des dizaines d’articles contre les notables de tous poils et la magistrature. Du reste, je le fais mais à mon rythme. Etant issu du peuple, je n’ai pas la rhétorique facile et des difficultés à traduire ma pensée.


 

À propos de la politique en qui je ne crois plus et le peuple non plus, vous pourrez lire ci-dessous, un petit texte du Dr Adrien Rogers que j’ai trouvé dans un partage de Facebook par le truchement d’un ami d’un ami. J’ai lu et relu ce court extrait. Encore, pourtant, une évidence qui coule de source au premier abord. Un exemple qui semble indiscutable, une théorie qui fait froid dans le dos.
Plus que l’ensemble de mon article, c’est, si vous le désirez, ce petit texte que vous devriez commenter.
Je vous dirai ensuite, pourquoi je ne suis pas d’accord avec la logique de ce texte.


 

Petite leçon de socialisme,
Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer, à l’exception d’une année, où ce fut la classe entière qui a connu l’échec.
Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme était une idéologie qui fonctionnait, et que personne n’était ni pauvre ni riche !
Un système égalitaire parfait.
Le professeur dit lors :
« OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera en tête avec de très bonnes notes. »
Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20.
Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui, eux, étaient ravis.
A l’approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins travailler. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20 ! Personne n’était satisfait…
Quand arriva le 3ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais, alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux, dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre.
A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car, quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important, tandis que, si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n’essaie de réussir.
Les choses sont aussi simples que çà.
Voici un petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses. « 
« Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. « 
« Tout ce qu’un individu reçoit sans rien faire pour l’obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit. « 
« Tout Pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres. « 
« Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation. On n’accroît pas les biens en les divisant. »
Dr. Adrian Rogers, 1931

En savoir plus : http://wikipedia.qwika.com/en2fr/Adrian_Rogers


 

 

Il est vrai, pour donner acte à la moralité, voir, l’idéal politique qu’il incarne, on pourrait expliquer le socialisme comme ça ! J’aurais même pensé qu’il s’agissait plutôt de communisme puisque le partage pour tous y est décrié.
Le communisme a échoué mais pas son idéal qui a été corrompu. On peut aussi dire que le socialisme a vécu puisqu’il s’est orienté inexorablement vers le libéralisme.
On pourrait comparer le texte d’Adrian Rogers à une équation mathématique qui ne laisse aucune place à la peu près. C’est juste ou c’est faux.
D’ailleurs, ça commence par : « un professeur d’économie » comme si l’économie était une science exact. Lire le dernier bouquin de Bernard Maris (Houellebeck économiste).
Je pense, et je continue de penser que oui, il faut retirer aux riches pour donner aux pauvres. Certains riches s’en sont rendu compte. Il trouve qu’ils ont trop gagné d’argent dans leur vie et que ce n’est pas normal. Non, décidément, personne ne me fera avaler que c’est logique que des grands patrons, des grands sportifs méritent les masses d’argents qu’ils détiennent même si les journalistes tentent de nous expliquer la raison mathématique.
N’aimons pas l’adage qui nous dit : ce qui est rare est cher. Bousculons et renversons cet adage.