Michel Onfray l’homme providentiel

Michel Onfray l’homme providentiel

Vendredi alors que j’étais au volant de ma camionnette de livraison, je me suis mis à écouter France Culture. C’était en fin de matinée. J’aime alterner les radios durant mon travail. Parfois j’ai envie de musique, d’autres fois, j’éprouve un besoin de paroles et j’aime les émissions radiophonique dans lesquelles des sujets sont abordés.

Les sujets sur la vie ont bien entendu, ma faveur. Et oui, depuis longtemps, je m’interroge sur des questions existentielles (lire certains des articles de se blog) et je n’ai pas abandonné l’idée de trouver des réponses cohérentes.

Ce blog, ce site web personnel est devenu un site de jeux gratuits par le nombre de jeux qui y figurent. Cependant, ce site web est construit d’une telle façon, que je me refuse rien en matière de publications. De prime abord, le visiteur se rend compte qu’il se trouve sur un site de détente, de jeux, de voyages et de musiques. Mais si le visiteur creuse un peu, il pourra voir qu’il y a une partie plus personnelle que j’ai nommé blog.

Et dans ce blog, je me livre, je critique, je vocifère, j’applaudis, j’admire.

C’est mon admiration pour ce que dit Michel Onfray sur une radio qui inspire cet article.

 

Le titre de cet article n’est pas exact mais je vais m’en expliquer

Michel Onfray n’aime pas les hommes providentiels, il l’a dit dans l’émission répondant à une question d’un auditeur concernant la politique. Je conseille vivement de ré-écouter en podcast  l’heure d’émission dans laquelle Mr Onfray développe ses idées et répond aux questions d’auditeurs.

Notamment, il explique très bien, les différences qu’il y a entre la démocratie et le totalitarisme. C’est remarques sont justes, ces constatations aussi.

J’ai essayé de le faire avec mes mots à moi, les mots d’un citoyen de classe ouvrière, majoritaire dans le peuple, sans bagages intellectuels. Mais je l’avoue, ça fait un bien fou d’entendre quelqu’un qui a les mêmes idées que vous et qui sait les développer autrement que moi.

Il est vrai qu’il y a longtemps que je m’insurge contre nos démocraties qui n’en n’ont que le nom et que j’avais deviné que c’était toujours une poignée d’hommes qui dirigeaient l’ensemble des autres. Et, sans avoir fait de recherches spécifiques, on peut dire que 3% de nos élites, dirigent à leur guise le reste de l’humanité. C’est pour cela, en parti, que je dis souvent que « je déteste les élites ».

Oui Michel Onfray a raison de dire qu’en France, nous sommes en autocratie et qu’il est urgent de changer de modèle. Ecoutez-le, il a raison et pour une fois, voilà un homme qui ne se contente pas de constater mais il nous donne des pistes, il dit ce qu’il faudrait faire.

Notre démocratie a vécue et moi qui pensait qu’il fallait un homme providentiel tel un Gandhi ou autre grand homme historique. Au fond de moi-même, je savais que l’homme providentiel n’était pas la solution, je l’ai écris, j’ai dis qu’il fallait tout repenser de A à Z. J’ai même ajouté qu’il fallait supprimer l’argent. Heureusement que j’ai titré mon article : Utopie politique.

Pour finir, il faut bien terminer un article, un grand merci à vous Mr Michel Onfray pour votre faculté à éclairer les hommes et à leur montrer le chemin. Et si il vous arrive par hasard de tomber sur cet article, j’ai une question pour vous.

Vous n’êtes pas la seule personne de bon sens (j’en ai découvert ici et là sur les ondes radiophoniques) mais je ne doute pas que vous saurez y répondre.

Pour quelle raison lorsque l’on sait ce qu’il faut faire pour améliorer la condition humaine, on ne peut pas la mettre en oeuvre ?

Comment se fédérer par le bas, renverser la démocratie et construire un autre modèle plus juste. Comment faire cela, concrètement?

Pourquoi ne prendriez-vous pas, le destin de la France ?

Le peuple, que je défend de tout coeur et dont je fais parti, est toujours manipulé ce qui arrange nos élites.

La Tunisie a essayé et a échoué.

Moi, petit bonhomme, je trouve évident que l’on ne renverse pas un « dictateur » pour en remettre un autre à la place.