La société de consommation du XXI ème siècle en Occidant

Réflexion sur le besoin de consommer coûte que coûte dans notre XXI ème siècle


La consommation du paraître

Avons nous besoin réellement de tous ces produits qui nous sont proposés de nos jours ?

Le démarchage téléphonique :

 

Il n’y a pas un jour sans que nous soyons dérangés par notre téléphone où, au bout du fil, on entend la même litanie.

«Bonjour, vous avez été sélectionné pour..»

ou bien, «Bonjour, nos représentants vont être dans votre commune pour ..»

Il s’agit bien entendu de démarchage téléphonique systématique. Une nouvelle forme de commerce forcé. Une sorte de « viol collectif« .

On a l’impression que sans eux, nous ne saurions pas nous-même, ce qu’il est bon d’acheter ou pas. Que sans eux, les opérateurs téléphoniques, nous ne saurions vivre.

Mais au fait, que nous proposent-ils ?

Rien, du vent. Ou plutôt, ils nous proposent de dépenser notre argent. En le dépensant, nous leur donnons notre argent. En contrepartie, nous avons gagné un service, une prestation, dont nous n’avions pas besoin.

La prestation est souvent d’un tarif excessif et non en rapport avec le bien apporté.


D’autres exemples :

La modernité technologique est-elle toujours une bonne choses ?


 

À cette question, la réponse est oui et non.

Oui, quand elle va dans le bon sens. Non, quand elle sert les intérêts de quelques-uns.

Produire toujours plus sans aucune autre réflexion que l’appât du gain n’est pas bon pour le peuple.

D’ailleurs, ça peut nous amener à la réflexion suivante :

Une question que je me suis toujours posée quand j’étais petit et un peu moins quand je suis devenu adulte. Cette question surprenante peut faire rire certaines personnes.

Je me demandais quel était le but des entreprises ?

Toujours croître, grossir. Mais pourquoi donc ?

Pour éviter d’être mangé, de mourir.

Dans le contexte actuel du capitalisme à outrance, ça peut se comprendre. » Si je ne m’agrandi pas, on va me manger tout cru » doivent se dire les dirigeants d’entreprises.

Alors que moi, j’ai toujours pensé qu’une entreprise devrait se suffire à elle même. Elle fait vivre ses salariés, point final. Et, si elle veut grossir, elle embauche plus de salariés.

Voilà le monde de Bisounours dans lequel j’aimerais évoluer. Mais pour cela, il faut un changement drastique de politique et de politiciens.

Où l’on se rend compte que le libéralisme n’a rien de bon pour les populations dans le monde. Le libéralisme a été créé dans l’unique but d’enrichir à outrance une faible proportion d’hommes et de femmes tout en laissant la pauvreté gagner du terrain inlassablement.

Que faire ?

Pas grand chose hélas. Les milliards d’êtres humains sur cette pauvre terre n’ont jamais réussi à se fédérer, à se révolter. Si ils l’on fait, ce fût en désordre. Tout ça, ça me fait penser aux animaux qui ne savent pas qui sont plus forts que nous. Si ils le savaient, nous serions submergés, broyés.

Tant que nos hommes et femmes politiques ne penseront qu’à leurs propres intérêts, nous continuerons à les subir. Je rêve d’une révolte pacifique où la population mondiale, se lèverait comme un seul homme, pour mettre à terre toutes les convictions de nos élites. Et qui repensera un nouvelle moderne de gouvernance moderne, équitable pour le plus grand nombre. Il faudra supprimer l’argent. Une utopie, peut-être, mais un souhait, un vœux pieux.

Si on trouve le moyen de vivre en ayant supprimé l’argent, il n’y aura plus de jalousies, il n’y aura plus de :  » moi je gagne plus que toi, alors tu obéis« , plus de lutte des classes. Enfin, un monde meilleur..